Les remords

Le temps a essayé de brûler tous mes souvenirs
Mais je n'est pu me résigner à les laissés mourir
Souhaitant maudire les jours, les semaines et l'année
Je rêvai que tu résidai au coeur de mes pensée
Petite nymphe couchée au creux de ma mémoire
Emplie de pensées magique tel un vieux grimoire
Tu imagines dans ton doux sommeil que tu t'enfuis
Loin de ce paradis d'amour qu'est mon corps et ma vie
Maintenant, je te sens si vivante et belle
Sans mes volages humeur stérile et mortelles
Pourtant je me voie pale et triste car tout est mort
Nulle autre beauté ne me possédera si fort
Le tonnerre gronde encore dans ces cieux meurtris
Où l'on entend à peine le bruit d'un baiser sali
Mais l'espoir ne luit plus aux sombres jours de décembre
M'inquiétant pour toi, je frisonne de tous mes membres
C'est le coeur endurcit que je réapprend à aimer
Les âmes singulières aux paupières mouillées
Puisque les étoiles sont d'inaccessible reine
Suspendues pour l'éternité au ciel de ma peine

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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