Ecorchée vive
Les roses s'enfoncent sur mon corps
De rouge de mon sang
Fleur de l'amour et épine de puissance
Par ces épines le mal et en présence encore...
Se nourrissant peu à peu de mes essences fluide veineux
Grandissant inlassablement de la nourriture de mon âme
Les hurlements et la douleur peu à peu ce calme
Laisse place à la beauté de ce spectacle
Au regard émerveiller